La fonge du Québec s’agrandit
Récemment, Herman Lambert et des collaborateurs ont décrit 11 nouvelles espèces d’Amanites du Québec. Ces champignons, qui portaient jusqu’à maintenant des noms provisoires, enrichissent la grande fonge internationale.
Récemment, Herman Lambert et des collaborateurs ont décrit 11 nouvelles espèces d’Amanites du Québec. Ces champignons, qui portaient jusqu’à maintenant des noms provisoires, enrichissent la grande fonge internationale.
Renée Lebeuf et des collaborateurs ont identifié six nouvelles espèces de Tricholomes au Québec. Ces espèces, caractérisées par des traits distinctifs et des habitats variés, enrichissent la connaissance de ce genre de champignon. Les mycologues sont encouragés à les rechercher.
L’article traite du mécanisme d’éjection des spores des Hyménomycètes appelé ballistosporie. Il résume les recherches menées depuis le début du XXe siècle sur ce processus complexe, incluant la formation de gouttes liquidiennes et la dynamique d’éjection, influencée par la morphologie des spores et les forces physiques en jeu.
L’article explore en détail la structure et le fonctionnement des spores des hyménomycètes, mettant en lumière les contributions de la microscopie électronique. Des éléments clés comme l’apophyse, l’apicule, le hile sont décrits pour comprendre comment ces champignons projettent activement leurs spores. L’analyse se base sur des études et des références historiques.
La microscopie électronique révèle la structure complexe des hyménomycètes, inaccessibles en microscopie optique. Cela inclut la terminologie spécifique mise à jour pour ces observations. Ces découvertes, malgré leur technicité avancée, éclairent le mycologue amateur sur ses observations.
Petite capsule « Microscopie » En microscopie optique, les principales structures des champignons à observer sont : le pileipellis (le chapeau), le stipitipellis (le cortex du pied), les voiles, la trame lamellaire, l’arête lamellaire et l’hyménium sur lequel on observe … Lire la suite
Il arrive souvent que le chapeau d’un champignon soit collant, visqueux, ou qu’il le devienne après que nous l’ayons légèrement humidifié. Cette consistance visqueuse se remarque surtout sur le revêtement externe du chapeau appelé pileipellis en microscopie, mais peut aussi se rencontrer sur d’autres parties du champignon.
Guy Fortin présente un survol des caractéristiques morphologiques macroscopiques et microscopiques de l’espèce.
par Guy Fortin et Roland Labbé Boletus chippewaensis, aussi appelé Cèpe d’Amérique (voir Tableau 1), est un basidiomycète de la famille des Boletaceae dans le clade Porcini, un groupe de bolets regroupant les cèpes. Génétiquement il est très près sinon … Lire la suite
Guy Fortin et Roland Labbé Les Bolbitiaceae forment une famille de champignons basidiomycètes de l’ordre des Agaricales. Ce sont des champignons lamellaires à spores brunes et à pileipellis en hyménoderme formé de cellules arrondies, clavées ou piriformes. Ils comprennent de … Lire la suite